…ma démotivation, ma colère, mon ras le bol et la perte de confiance dans une partie de mon équipe.

Ce n'est pas que l'autorité communale ne voulait rien faire, même si ce n'était pas évidant de faire bouger les choses, mais la lenteur de l'avancement des projets suite à la dépendance envers d'autres personnes qui ne mettaient pas les choses en place a vraiment contribué à ma démotivation.

Le fait d'avoir juste un objectif global et pas de missions claires et de délais à tenir, pas de “feuille de route”, de priorisation lorsqu'une chose n'avançait pas, pas beaucoup de retour de l'autorité, pas de suivi, un peu laissé de côté et un bureau dans un bâtiment seul à l'écart de tout le monde…

L'aide quasi nulle reçue à mon arrivée alors que je n'avais aucune expérience (premier boulot), l'ambiance horrible entre les services (aucune entraide, aucune communication), le responsable du service des travaux, avec qui il me semblait important de pouvoir bien collaborer mais qui m'envoyait royalement promener (lorsque l'on posait une question et qu'on me répondait “Toutes les infos sont dans mes fardes, vas-y…).

La moitié d'une équipe qui ne travaillait pas pour la prévention (pas le temps soit disant mais qui trouvait le temps de passer sa journée sur Facebook ou à écouter de la musique).

L'impression que ce qui était dit en réunion SIPP était divulgé à d'autres personnes…

Les personnes qui essayaient aussi de me refourguer du travail qui ne me concernait pas…